Toolbox
Attitude, langue, tonalité
- positive
- motivante
- enthousiaste
- vendeuse
- orientée service
- prévenante
- patiente
- transparente
- langage accessible, simple
- langage imagé (avec des exemples)
- pas de mots étrangers, ni de termes techniques (utilisation d’un langage pédagogique)
Formulation
a. À dire
- Cours axés sur la pratique ;
- le terme « compétences de base » doit toujours être complété par les cinq domaines de cours : « lire, écrire, calculer, ordinateur et langue ». En fonction de l’entreprise (et de ses besoins), certains domaines peuvent être écartés de l’énumération. Exemple : Compétences de base dans les domaines « lire, écrire et calculer » (sans le domaine « ordinateur ») ;
- « sur mesure », « adapté aux besoins de l’entreprise », « les entreprises peuvent définir elles-mêmes le contenu des cours » ;
- « lire, écrire, calculer, ordinateur et langue » (énumération des domaines des compétences de base);
- dans la langue parlée ou dans le corps du texte (contrairement à la version courte), il ne faut pas parler d’informatique en général, mais d’utilisation des applications informatiques simples pour se démarquer de l’utilisation des applications informatiques plus exigeantes ;
- « la Confédération » (dans la mise en page des documents, le SEFRI peut être utilisé dans le corps du texte, car le logo renvoie directement à la Confédération) ;
- « Simplement mieux !… au travail » (toujours utiliser le titre complet en privilégiant cette orthographe).
b. À ne pas dire
- La notion de formation continue semble très vaste et évoque l’idée de nombreuses absences des collaborateurs. Il faut donc plutôt parler de cours ;
- ne pas employer l’expression « compétences de base en situation de travail ». Aucune entreprise ne comprend ce que l’on entend par là. Utiliser le terme « compétences de base », mais toujours accompagné des domaines « lire, écrire, calculer, ordinateur et langue » ;
- « SEFRI », « Secrétariat d’État à la formation, à la recherche et à l’innovation » (surtout à l’oral). La plupart des entreprises n’ont aucun contact avec le Secrétariat d’État. Par conséquent, la dénomination exacte soulève des questions inutiles sans que cela ne génère une valeur ajoutée. « La Confédération » est suffisante, voir plus haut.
Messages
a. Entreprises, associations, acteurs relais – objectif de communication : éveiller l’intérêt
- La Confédération a mis sur pied un programme pour contribuer au financement de cours qui visent à encourager les collaboratrices et collaborateurs à développer leurs compétences de base dans les domaines « lire, écrire, calculer, ordinateur et langue ». Les entreprises sont libres d’organiser les cours comme elles l’entendent ;
- les cours visent à améliorer les compétences de base des collaborateurs dans les domaines « lire, écrire, calculer, ordinateur et langue » ;
- les cours sont axés sur la pratique ;
- les connaissances acquises peuvent immédiatement être appliquées dans les situations du quotidien ;
- les entreprises peuvent définir elles-mêmes le contenu des cours ;
- les cours sont taillés sur mesure pour chaque entreprise ;
- les cours en entreprise qui encouragent le développement des compétences de base dans les domaines « lire, écrire, calculer, ordinateur et langue » sont subventionnés par la Confédération ;
- la Confédération prend en charge une partie des frais de cours ;
- la demande doit être déposée auprès du canton, si l’entreprise se trouve dans l’un des cantons suivants : Appenzell Rhodes-Extérieures, Appenzell Rhodes-Intérieures, Bâle-Ville, Berne, Saint-Gall ou Schwytz. Dans ces cantons, les critères définis pour les structures d’encouragement cantonales diffèrent partiellement de ceux du programme fédéral. Astuce : veuillez vous adresser à la personne responsable du programme dans le canton en question et vous renseigner sur la structure d’encouragement qui convient le mieux à votre entreprise.
- les contenus exacts des cours et leurs avantages sont illustrés à partir d’exemples de bonnes pratiques (témoignages).
Structure de base du texte présentant les mesures de prospection
- Description courte
- Exemple pour illustrer les avantages
- Soutien de la Confédération
- Quels sont vos besoins ?
Exemple d’entretien (guide général)
- Cours axés sur la pratique pour améliorer les compétences de base des collaborateurs dans les domaines « lire, écrire, calculer, ordinateur et langue » ;
- les cours sont taillés sur mesure pour chaque entreprise.
- cette approche garantit la possibilité d’appliquer immédiatement les connaissances acquises dans les situations du quotidien ;
- Exemple :
- Une menuiserie a récemment organisé un cours, car…
- des calculs simples sont inévitables dans cette branche ;
- aujourd’hui, les collaborateurs de la menuiserie peuvent calculer de manière autonome les dimensions nécessaires à l’exécution du travail ;
- les demandes peuvent être traitées plus rapidement, diminuant ainsi la charge de travail pour le responsable d’entreprise ;
- Quels sont les processus qui peuvent être améliorés dans votre entreprise avec de simples cours ?
b. Entreprises, associations, acteurs-relais – objectif de communication : fournir des détails sur la mise en œuvre
Les prestataires de formation
- Le SEFRI, les cantons, la Fédération suisse Lire et Écrire ainsi que la FSEA soutiennent les prestataires dans leurs efforts ;
- tous les documents nécessaires à la prospection sont mis à la disposition des prestataires ;
- les prestataires reçoivent gratuitement les aides à la prospection (documentation, « boîte à outils ») et le matériel publicitaire ;
- il convient d’adopter une approche ciblée selon le domaine d’activité et la taille des entreprises. Les informations utiles à ce sujet sont mises à la disposition des prestataires ;
- le taux de réussite peut être augmenté grâce à une démarche coordonnée et ciblée. Le SEFRI prend en charge la coordination et met à disposition de tous les acteurs intéressés les informations pertinentes et les documents utiles.